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L’exportation fait partie des secteurs les plus choisis en ce moment. Elle contribue au développement économique d’un pays et permet à une entreprise d’élargir son domaine d’activité. Aujourd’hui, il existe plusieurs moyens de se développer dans ce domaine, en commençant par choisir le bon travail. Pour en savoir plus, vous êtes invité à poursuivre votre lecture.
Pourquoi opter pour un travail dans l’export international ?
Le commerce international est un vaste domaine. De nos jours, les différents pays du monde exportent leurs marchandises vers d’autres nations et importent des biens de l’étranger. Puisque c’est un processus totalement complexe, les carrières sont divisées pour veiller à ce que tout se passe bien. Vous avez le choix entre le domaine de l’import et le domaine de l’export.
Travailler dans l’export international peut être très avantageux pour vous. Cela vous permet de profiter de nombreuses opportunités enrichissantes et passionnantes. Par ailleurs, ce domaine vous permet de côtoyer des entreprises internationales, particulièrement celles qui produisent et vendent des produits de marque. Puis, si vous aimez voyager, vous apprécierez d’avoir un travail dans l’export international.
Quels métiers permettent de travailler dans l’export international ?
L’industrie de l’export international présente une évolution progressive. C’est la raison pour laquelle les emplois dans les organisations et dans les entreprises sont de plus en plus nombreux. En effet, pour travailler dans l’export international, vous pouvez choisir entre une série de métiers, comme :
- assistant(e) administratif export ;
- assistant(e) chef de zone – export ;
- assistant(e) logistique transports internationaux ;
- cadre administratif export ;
- cadre technico-commercial export ;
- chargé(e) d’affaires – export ;
- chef(fe) de produits, marchés internationaux ;
- consultant en affaires internationales ;
- directeur commercial export ;
- directeur du marketing international ;
- ingénieur d’affaires internationales ;
- manager commerce international junior ;
- manager ventes internationales ;
- négociateur en commerce international ;
- responsable export ;
- responsable logistique ;
- responsable zone export ;
- technicien(ne) export.
Est-il nécessaire de maîtriser les incoterms pour travailler dans l’export international ?
En 1936, la Chambre de Commerce Internationale (ICC) a publié une série de règles internationales pour répondre à la question : « Quand est-ce que les risques et les frais sont à la charge de l’acheteur ? ». Celle-ci est nommée INCOTERMS (International Commercial Terms). Ces incoterms définissent les obligations entre le vendeur et l’acheteur dans le cadre d’un contrat.
Bien entendu, si vous envisagez un travail dans l’export international, il est essentiel de connaître les différents incoterms. À noter que depuis 1936, ces derniers ont connu quelques amendements. Le but étant de toujours les adapter aux pratiques commerciales internationales les plus récentes. Vous devez donc les maîtriser à chaque fois qu’il y a un mis à jour. Aujourd’hui, les différents types d’incoterms sont : FCA, EXW, DDP, DPU, DAP, CPT, et CIP.
L’ESCE permet-elle à ses étudiants de se former à l’export et au commerce international ?
L’ESCE (École Supérieure du Commerce Extérieur) est une école de commerce international fondée en 1968. Basée à Paris la Défense, cette école est spécialisée dans les métiers internationaux, et propose à cet effet des formations dans l’export et dans le commerce international. Si vous voulez vous former à l’export et au commerce international à l’ESCE, vous pouvez vous diriger vers le programme Grande école. Ainsi, vous pouvez choisir entre les différentes spécialisations :
- export Management ;
- achats ;
- supply Chain ;
- ingénierie d’Affaires ;
- stratégie Marketing et Commerciale Grande Consommation.
Quels marchés ou zones géographiques internationales les professionnels de l’export peuvent-ils choisir ?
Le choix des marchés internationaux ne doit pas se faire n’importe comment si vous souhaitez vous exercer à l’export. Il faut commencer par une bonne documentation et un véritable travail d’analyse. Vous aurez ainsi à vos côtés toutes les chances de rentabilité et de succès.
Vous vous demandez sûrement quelles zones géographiques choisir pour votre activité à l’international. Sachez que tant que le pays importateur le permet, vous pouvez y exporter vos produits ou votre service. Cependant, il est toujours mieux de commencer par conquérir les marchés qui sont beaucoup plus proches de vous, tant sur le plan culturel, géographique que linguistique.
Si le siège social de votre entreprise se trouve en France, vous pouvez tout à fait prospecter les marchés de la Suisse, de la Belgique, de l’Espagne, de l’Allemagne, de l’Italie, de l’Autriche, des Pays-Bas ou encore du Royaume-Uni. Vous pourrez au fil du temps conquérir un marché après l’autre.
De quelles aides une entreprise peut-elle bénéficier pour exporter ses biens ou ses services à l’étranger ?
Sachez que le secteur public propose des aides aux chefs d’entreprise qui veulent développer leurs activités en se lançant à l’export. Il y a :
- les aides à l’export du Plan de relance ;
- l’assurance prospection à l’international par Bpifrance ;
- le prêt du Trésor qui peut aller de 10 à 70 millions ;
- le prêt Croissance International par Bpifrance qui va de 30 000 euros à 5 millions d’euros ;
- les prêts et outils proparco, par l’AFD (Agence française de développement) et l’institution financière Proparco ;
- le fonds FASEP innovation verte qui est une subvention de 100 000 à 800 000 euros de la part de la direction générale du Trésor ;
- le fonds FASEP études et d’aide au secteur privé par la direction générale du Trésor qui va de 100 000 à 800 000 euros.